mercredi 16 juin 2010

Jean-Christian Bourcart


Série "Camden, New Jersey" copyrights Jean-Christian Bourcart


 Série "I shot the crowd. Paris, New York, Phnom Penh, Shanghai"
copyrights Jean-Christian Bourcart

Série "Collateral. Tivoli, New York State, 2005" 
copyrights Jean-Christian Bourcart

Série "Traffic. Newy York 1999-2001" copyrights Jean-Christian Bourcart

Comme beaucoup de professionnels, Jean-Christian Bourcart  débute sa carrière en tant que photographe de mariage dans un laboratoire spécialisé. En parallèle, il développe une collaboration avec le journal Libération et rejoint en 1990 l’agence Rapho. Sa rencontre avec le galeriste Gilles Dusein et Nan Goldin lui permet de présenter son travail dans des galeries.

En 1997 il quitte la France pour s’installer à New York où il développe ses projets personnels tout en effectuant des commandes institutionnelles ou privées (portraits, photos de presse). L’œuvre de Jean-Christian Bourcart se décline sur des supports très divers et selon des axes conceptuels et techniques hétérogènes. Fasciné d’abord par les univers marginaux ou méconnus, il se dit aujourd’hui « plutôt fasciné par la nature instable de ce qu'on appelle réalité. »

« Je photographie pour avoir une excuse pour regarder. Je photographie pour saisir ce qui n'est pas accessible autrement. Je photographie parce que ça fait moins de dégât que le tir à la mitraillette. Je photographie pour pouvoir oublier. J'aimerais que mon travail soit comme regarder à travers une porte entrouverte, où les histoires ne sont pas articulées ou expliquées, mais restent plutôt secrètes, laissant au spectateur le soin de discerner, de découvrir et d'imaginer. » 

Jean-Christian Bourcart vient de remporter le prix Nièpce 2010.

http://jcbourcart.com

jeudi 3 juin 2010

Jeffrey Stockbridge


"New work" copyrights Jeffrey Stockbridge


""Abandoned House" copyrights Jeffrey Stockbridge


"Divine Lorraine Hotel" copyrights Jeffrey Stockbridge

Originaire de Philadelphie, Jeffrey Stockbridge photographie depuis 5 ans les maisons abandonnées de sa ville. A l’aide d'un simple 4x5, il s'adapte pour chaque image à la lumière naturelle qui plane sur les lieux et préfère les cadrages larges qui permettent d’apprécier l’espace. Jeffrey Stockbridge nous rend ainsi témoins de leurs empreintes de vie laissées ça et là, et révèle ces maisons, non comme de froides structures, mais comme des lieux "vivants" chargés d'une histoire et de mémoire.  

http://jeffreystockbridge.com